Comment les citoyens d’aujourd’hui peuvent-ils soutenir et participer à une production alimentaire plus locale? À cette question, Thomas Stucker – étudiant de l’OC Géographie 2017-2018 – a répondu de la manière suivante :
se lancer dans la création d’un petit potager urbain afin de produire certains aliments nécessaires à la consommation quotidienne.
Cette idée a émergé suite au constat qu’il a pu dresser des conséquences de la production alimentaire mondiale actuelle : « pollution des sols, coûts en énergie, longs chemins parcourus par certains aliments vendus sur nos étalages ou encore les mauvaises conditions de travail des employés agricoles. »
Région d’Almeria (Espagne). Photographie extraite de: http://www.laboiteverte.fr/une-mer-de-plastique-en-espagne/
Mais pour ne pas rester passif face à cela, Thomas Stucker a décidé de se relever les manches et de proposer un projet concret qui soit en mesure – à son échelle – d’apporter une piste de solution. Son potager urbain a donc pris place au cœur de son quartier résidentiel avec l’aide de nombreux voisins qui ont, d’ailleurs, tout de suite adhéré à son idée.
Mais en plus de proposer une solution afin de consommer plus localement et de faire certaines économies, son projet permet également « l’enverdissement » de son quartier et le renforcement des liens sociaux entre les personnes qui vont l’aider à cultiver ce petit potager.
Pour le moment, nous ne dévoilerons pas les photographies de ce potager… il faudra donc bien être présent lors de la 3ème Journée de la Terre Nourricière, qui se tiendra le mardi 15 mai 2018, afin de pouvoir mettre fin à ce suspens.